Le Loup et la Cigogne
Les Loups mangent gloutonnement.
Un Loup donc étant de frairie,
Se pressa, dit-on, tellement,
Les Loups mangent gloutonnement.
Un Loup donc étant de frairie,
Se pressa, dit-on, tellement,
Un Lion décrépit, goutteux, n’en pouvant plus,
Voulait que l’on trouvât remède à la vieillesse :
Alléguer l’impossible aux Rois, c’est un abus.
Un Loup rempli d’humanité
(S’il en est de tels dans le monde)
Fit un jour sur sa cruauté,
La Bique, allant remplir sa traînante mamelle,
Et paître l’herbe nouvelle,
Ferma sa porte au loquet,
Non sans dire à son Biquet :
« Gardez-vous, sur votre vie,
D’ouvrir que l’on ne vous die,
Lire la suite de la fable: Le Loup, la Chèvre et le Chevreau
Ce Loup me remet en mémoire
Un de ses compagnons qui fut encore mieux pris :
Il y périt. Voici l’histoire :
Un villageois avait à l’écart son logis.