Parmi de certains Coqs, incivils, peu galants,
Toujours en noise, et turbulents,
Une Perdrix était nourrie.
Son sexe, et l’hospitalité,
De la part de ces Coqs, peuple à l’amour porté
Lui faisaient espérer beaucoup d’honnêteté :
Lire la suite de la fable: La Perdrix et les Coqs
Ô Jupiter, qui sus de ton cerveau,
Par un secret d’accouchement nouveau,
Tirer Pallas, jadis, mon ennemie,
Lire la suite de la fable: L’Araignée et l’Hirondelle
Un Loup rempli d’humanité
(S’il en est de tels dans le monde)
Fit un jour sur sa cruauté,
Lire la suite de la fable: Le Loup et les Bergers
Tircis, qui pour la seule Annette
Faisait résonner les accords
D’une voix et d’une musette
Capables de toucher les morts,
Chantait un jour le long des bords
D’une onde arrosant des prairies,
Lire la suite de la fable: Les Poissons et le Berger qui joue de la flûte
« Qu’ai-je fait pour me voir ainsi
Mutilé par mon propre Maître ?
Le bel état où me voici !
Devant les autres chiens oserai-je paraître ?
Ô rois des animaux, ou plutôt leurs tyrans,
Qui vous ferait choses pareilles ? »
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