S’il est un conte usé, commun, et rebattu
C’est celui qu’en ces Vers j’accommode à ma guise.
Et pourquoi donc le choisis-tu ?
Qui t’engage à cette entreprise ?
N’a-t-elle point déjà produit assez d’écrits ?
Quelle grâce aura ta Matrone
Lire la suite de la fable: La Matrone d’Éphèse
Aux traces de son sang un vieux hôte des bois,
Renard fin, subtil et matois,
Blessé par des chasseurs et tombé dans la fange,
Autrefois attira ce parasite ailé
Que nous avons mouche appelé.
Il accusait les Dieux, et trouvait fort étrange
Que le Sort à tel point le voulût affliger,
Lire la suite de la fable: Le Renard, les Mouches et le Hérisson
Rien ne sert de courir ; il faut partir à point.
Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage.
Gageons, dit celle-ci, que vous n’atteindrez point
Si tôt que moi ce but. Si tôt ? Êtes-vous sage ?
Repartit l’animal léger.
Lire la suite de la fable: Le Lièvre et la Tortue
Jupiter voyant nos fautes,
Dit un jour du haut des airs :
« Remplissons de nouveaux hôtes
Les cantons de l’Univers
Habités par cette race
Qui m’importune et me lasse.
Va-t’en, Mercure, aux Enfers,
Lire la suite de la fable: Jupiter et les Tonnerres
Un Savetier chantait du matin jusqu’au soir :
C’était merveilles de le voir,
Merveilles de l’ouïr ; il faisait des passages,
Plus content qu’aucun des Sept Sages.
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